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St. John Lucas, comp. (1879–1934). The Oxford Book of French Verse. 1920.

Index of First Lines

Admirez l’artifice extrême
Advis m’est que j’oy regreter
A fin de témoigner à la postérité
Ah! quel que soit le deuil jeté sur cette terre
Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages
A la fontaine où l’on puise cette eau
Ala très-chère, à la très-belle
Allez-vous-en, allez, allez
Amelette Ronsardelette
Antres, et vous fontaines
A saint-blaise, à la Zuecca
Au bon vieulx temps un train d’amour regnoit
Au printemps, l’oiseau naît et chante
Aux gens atrabilaires
Aux larmes, Le Vayer, laisse tes yeux ouverts
Avant le temps tes tempes Heuriront
A vous troppe legere
Avril, I’honneur et des bois
Ayant poussé la porte étroite qui chancelle
Beau chevalier qui partez pour la guerre
Bel Aubepin fleurissant
Blanche com lys, plus que rose vermeille
Booz s’était couché de fatigue accablé
Captif au rivage du Maure
Car ou soies porteur de bulles
Celle qui de son chef les estoilles passoit
Celui qui ci maintenant dort
Ce n’est pas vous, non, madame, que j’aime
Ces jours passés, chez un vieil histrion
C’est la huitième journée
C’est toi qui me rends à moi-même
Changeons propos, c’est trop chanté d’amours
Cher petit oreiller, doux et chaud sous ma tête
Chloris, je vous le dis toujours
Ci-gît dont la suprême loi
Ci git Paul qui baissait les yeux
Cloris, que dans mon cœur j’ai si longtemps servie
Combien j’ai douce souvenance
Comme la voix d’un mort qui chanterait
Comme lon void de loing sur la mer courroucée
Comme on void sur la branche au mois de May la rose
Comme un ange gardien prenez-moi sous votre aile
Comme un dernier rayon, comme un dernier zéphyre
Comme un vain rêve du matin
Comme un voleur de nuit, chez vous, la mort avide
Couché sous tes ombrages vers
Courage, grand Achille, oppose à la fortune
Courage, ô faible enfant de qui ma solitude
Couronnés de thym et de marjolaine
Dame des cieulx, regente terrienne
Danchet, si méprisé jadis
Dans ces prés fleuris
Dans le vieux parc solitaire et glacé
Dans l’île Saint-Louis, le long d’un quai désert
Dante, vieux Gibelin! quand je vois en passant
Déjà plus d’une feuille sèche
De la dépouille de nos bois
De leur col blanc courbant les lignes
De Saint-Quentin a Cambrai
Dessous ceste motte verte
Deux cortèges se sont rencontrés à l’église
Devant la blanche ferme où parfois vers midi
Dictes moy où, n’en quel pays
Dieu dont l’arc est d’argent, dieu de Claros, écoute
Dieu, qu’il la fait bon regarder
Divins Esprits, dont la poudreuse cendre
Du paresseux sommeil où tu gis endormie
Dure chose est a soustenir
Du temps que j’étais écolier
Du temps que la Nature en sa verve puissante
Écoutez!—Comme un nid qui murmure invisible
Églé, belle et poète, a deux petits travers
Elle avait pris ce pli dans son âge enfantin
Elle était belle, si la Nuit
En bon Français politique et dévot
En ce moys delicieux
Encores que la mer de bien loin nous separe
Enfant dont la lèvre rit
En regardant vers le païs de France
Entre Le Clerc et son ami Coras
Entre les fleurs, entre les lis
Esperez-vous que la posterité
Estant couché pres les ruchettes
Estoc d’oneur et arbres de vaillance
Fay refraischir mon vin de sorte
Flatter un crediteur, pour son terme allonger
France, mere des arts, des armes, et des loix
François, arreste-toi, ne passe la campagne
Freres humains, qui après nous vivez
Gastibelza, l’homme à la carabine
Gentilz gallans de France
Grand Dieu, qui vis les cieux se former sans matière
Hâ que nous t’estimons heureuse
He Dieu, que je porte d’envie
Hellas! Ollivier Basselin
Hé quoi! vous êtes étonnée
Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage
Hola, Charon, Charon, Nautonnier infernal!
Homme, libre penseur! te crois-tu seul pensant
Horloge! dieu sinistre, effrayant, impassible
Il fait bon voir (Paschal) un conclave serré
Il faut finir mes jours en l’amour d’Uranie
Il neigeait. On était vaincu par sa conquête
Ils s’en vont, ces rois de ma vie
Item, j’ordonne à Saincte-Avoye
Jadis par amours amoient
J’ai cueilli cette fleur pour toi sur la colline
J’ai déjà passé l’âge où ton grand protecteur
J’aime à vous voir en vos cadres ovales
J’ai perdu ma tourterelle
J’ai plus de souvenirs que si j’avais mille ans
J’ai révélé mon cœur au Dieu de l’innocence
J’ayme la liberté, et languis en service
J’ay vécu sans nul pensement
Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant
Je hay du Florentin l’usuriere avarice
Je ne te conteray de Boulongne, et Venise
Je ne vois rien ici qui ne flatte mes yeux
J’étais un arbre en fleur où chantait ma Jeunesse
Jétais un faible enfant qu’elle était grande et belle
Jeune beauté, mais trop outrecuidée
Jeune homme sans mélancolie
Je veux lire en trois jours l’Iliade d’Homere
Je veux, me souvenant de ma gentille amie
Je vis un ange blanc qui passait sur ma tête
Je vous envoie un bouquet que ma main
J’irai, j’irai porter ma couronne effeuillée
Job, de mille tourments atteint
La barque est petite et la mer immense
La brigantine
La cigale, ayant chanté
La connais-tu, Dafné, cette ancienne romance
La Cour a dénigré tes chants
La froidure paresseuse
Laissez-moy penser à mon aise
La mort ne surprend point le sage
Las! Mort qui t’a fait si hardie
L’autre jour, au fond d’un vallon
L’autre nuit, je veillais dans mon lit sans lumière
Le Babylonien ses haults murs vantera
Le ciel est noir, la terre est blanche
Le ciel est, par-dessus le toit
Le droit jour d’une Penthecouste
Le jay vient de mettre Voltaire
Le mal dont j’ai souffert s’est enfui comme un lëve
L’enfant avait reçu deux balles dans la tête
L’enfant chantait; la mère au lit, exténuée
Le Phénix, venant d’Arabie
Lépinaissant mû de la faux respecté
Le sable rouge ost comme une mer sans limite
Les champs n’étaient point noirs, les cieux n’étaient pas mornes
Les fourriers d’Esté sont venus
Le singe avec le léopard
Les Levantins en leur légende
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Le soleil dans les flots avait noyé ses flammes
Le soleil prolongeait sur la cime des tentes
Les sanglots longs
Le Tasse errant de ville en ville
L’été, lorsque le jour a fui, de fleurs couverte
Le temps a laissié son manteau
L’innocente victime, au terrestre séjour
L’oiseau vigilant nous réveille
Lorsque le grand Byron allait quitter Ravenne
Lorsque l’enfant paraît, le cercle de famille
Lors que Maillart, juge d’Enfer, menoit
Lune porte-flambeau, seule fille heritiere
Ma foi, c’est fait de moi; car Isabeau
Maintenant que mon temps décroît comme un flambeau
Maintenant que Paris, ses pavés et ses marbres
Malheureux l’an, le mois, le jour, l’heure, et le poinct
Marie, levez-vous, vous estes paresseuse
Marquise, si mon visage
Marquis, que dois-je faire en cette incertitude?
Mère des souvenirs, maîtresse des maîtresses
Mes Mânes à Clytie: Adieu, Clytie, adieu
Mes volages humeurs, plus sterilles que belles
Midi, roi des étés, épandu sur la plaine
Mignonne, allons voir si la rose
Moi, de qui les rayons font les traits du tonnerre
Mon âme a son secret, ma vie a son mystère
Mon Castin, quand j’aperçois
Mon cœur, comme un oiseau, voltigeait tout joyeux
Monsieur l’ Abbé et monsieur son valet
Mon très aimable successeur
Mort, j’appelle de ta rigueur
Ne reprenez, Dames, si j’ay aymé
Ne sçay combien la haine est dure
N’espérons plus, mon âme, aux promesses du monde
Ne t’attends qu’à toi seul: c’est un commun proverbe
Ne verse point de pleurs sur cette sépulture
Nous n’irons plus au bois, les lauriers sont coupés
Nouveau venu, qui cherches Rome en Rome
Nouvelles ont couru en France
O bien heureux qui peut passer sa vie
Ô champs plein de silence
Odieu, qui les vostres aimez
O douce Volupté, sans qui, dès notre enfance
Oeta, mont ennobli par cette nuit ardente
O folz des folz, et les folz mortelz hommes
O fontaine Bellerie
Ô France, quoique tu sommeilles
Oh! combien de marins, combien de capitaines
Oh! quand cette humble cloche à la lente volée
Oh! que j’aime la solitude!
Ô maison du Moustoir! combien de fois, la nuit
On dict bien vray, la maulvaise Fortune
On parlera de sa gloire
On vient de me voler!—Que je plains ton malheur!
O qu’heureux est celuy qui peult passer son aage
Or est venu le trés gracieux mois
Or n’est il fleur, odour ne violette
O socrates plains de philosophie
Oui, l’œuvre sort plus belle
Ou nom de Dieu, comme j’ay dit
Où sont nos amoureuses?
Par delà l’escalier des roides Cordillères
Pasteurs, voici la fonteinette
Percé jusques au fond du cœur
Pere du doux repos, Sommeil pere du songe
Perrette, sur sa tête ayant un pot au lait
Persécuté, proscrit, chassé de son asile
Petits dieux avec qui j’habite
Peut-être un jour sa voix tendre et voilée
Philis, qu’est devenu ce temps
Pleurez, doux alcyons! ô vous, oiseaux sacrée!
Plus ne suis ce que j’ay esté
Poète, prends ton luth et me donne un baiser
Posé comme un défi tout près d’une montagne
Pour ce, aimez tant que vouldrez
Pourquoi, plaintive Philomèle
Priez pour paix, douce Vierge Marie
Puis que de vous je n’ay autre visage
Puisque sept péchés de nos yeux
Quand ce brave sejour, honneur du nom Latin
Quand don Juan descendit vers l’onde souterraine
Quand il pâlit un soir, et que sa voix tremblante
Quand l’homme te frappa de sa lâche cognée
Quand Louise mourut à sa quinzième année
Quand Michel-Ange eut peint la chapelle Sixtine
Quand nous habitions tous ensemble
Quand vous lirez, ô Dames Lionnoises
Quandvous serz bien vieille, au soir, à la chandelle
Quant vient en mai que l’on dit as lons jors
Qu’aux accents de ma voix la terre se réveille
Que je plains le destin du grand Germanicus!
Quel charme vainqueur du monde
Quel est ce navire perfide
Quel fardeau te pèse, ô mon âme!
Que m’importe que tu sois sage?
Que mon fils ait perdu sa dépouille mortelle
Qu’es-tu, passant? Le bois est sombre
Que ton visage est triste et ton front amaigri
Que tu sais bien, Racine, à l’aide d’un acteur
Qui que tu sois, voici ton maître
Qui veult avoir liesse
Qui voudra voir tout ce qu’ont peu nature
Qui voudroit figurer la Romaine grandeur
Quoi! tandis que partout, ou sincères ou feintes
Quoy qu’on tient belles langagieres
Regarde, ô Ceres la grande
Repos eternel, donne à cil
Rians vairs yeulx, qui mon cuer avez pris
Rozette, pour un peu d’absence
Saluez moy toute la compaignie
Sa Majesté Lionne un jour voulut connaître
Sans doute il est trop tard pour parler encor d’elle
Savez-vous pourquoi Jérémie
Sculpteur, cherche avec soin, en attendant l’extase
Se souvent vais au moustier
Si c’est fidelité, aimer mieux que la flame
Si j’avais un arpent de sol, mont, val ou plaine
S’il est un nom bien doux fait pour la poésie
Si ma voix, qui me doit bien tost pousser au nombre
Si ne suis, bien le considere
Si nostre vie est moins qu’une journée
Sire, ce n’est pas tout que d’estre Roy de France
Sire, Thulène est mort: j’ay veu sa sépulture
Si ton cœur, gémissant du poids de notre vie
Si tu peux te résoudre à quitter ton logis
Si vostre œil tout ardent d’amour et de lumière
Si vous croyez que je vais dire
Si vous voulez que j’aime encore
Sois sage, ô ma Douleur, et tiens-toi plus tranquille
Son âge échappait à l’enfance
Source délicieuse, en misères féconde
Souvent, pour s’amuser, les hommes d’équipage
Sui je, sui je, sui je belle?
Sus toutes flours tient on la rose à belle
Ta douleur, du Périer, sera donc éternelle?
Tandis que le sommeil, réparant la nature
Tant avez fait par vostre grant doulçour
Tant que mes yeus pourront larmes espandre
Telle que dans son char la Berecynthienne
Telz que lon vid jadis les enfans de la Terre
Tircis, il faut penser à faire la retraite
Toi que j’ai recueilli sur sa bouche expirante
Toujours ce souvenir m’attendrit et me touche
Tout aussitot que je commence à prendre
Toy qui de Rome emerveillé contemples
Ue montagne en mal d’enfant
Un doulx Nenny avec un doulx soubzrire
Une grenouille vit un bœuf
Une nuit claire, un vent glacé. La neige est rouge
Un jour que nous étions assis au pont Kerlô
Un mal qui répand la terreur
Un octogénaire plantait
Un rare écrivain comme toi
Un roi de Perse, certain jour
Un savetier chantait du matin jusqu’au soir
Venez a mon jubilé
Verson ces roses pres ce vin
Voici les lieux charmants, où mon âme ravie
Voulentiers en ce moys icy
Vous parlez comme un Scipion
Vous qui aux bois, aux fleuves, aux campaignes
Voyant ces monts de veue ainsi lointaine